Alex raconte …
Pierre avait filmé tous les ébats de Sonia. Il s’était arrangé pour arriver chez chaque protagoniste avant elle et avait ainsi put installer une caméra discrète, qui ne pouvait rien manquer de ce qui allait se passer.
Ce que nous ne savions pas c’est qu’il avait également demandé à un ami de filmer, toujours discrètement ma punition au cinéma.
C’est pourquoi nous fûmes un peu étonnés quand Pierre nous annonça :
« Maintenant que nous sommes réconciliés et que vous êtes pardonnés il serait amusant de visionner ensemble les films que nous avons tourné de vos punitions »
« Quels films » s’étonna Sonia ?
« He bien ma chérie, pendant que vous subissiez vos punitions un ami et moi fixions ces scènes pour l’éternité »
Sonia semblait contrariée
« Tu exagères, cela n’était pas prévu ! »
« Crois-tu que tu n’as pas, toi aussi exagéré en prenant du plaisir à ce qui devait être punition »
Sonia reconnu qu’il avait raison
« Bien sûr nous inviterons mon ami Gérard à cette projection puisqu’il a participé à sa réalisation. D’ailleurs il me proposait de présenter le film à un éditeur de film érotique pour en faire un succès commercial »
Sonia et moi nous réagissons car nous ne sommes pas d’accord.
« Cela a été filmé à notre insu et nous avons donc un droit de regard »
« C’est bien ce que je vous propose » dit Pierre en riant
« Voyons d’abord ce qu’il en est et nous déciderons ensuite ! »
Sonia acquiesça
Le soir réuni Pierre, Sonia, Gérard, et moi. Pierre avait insisté pour que je sois vêtu exactement comme le jour ou avait été tourné le film. Je dois dire que cela m’excita. Cela me permettait de m’habiller une nouvelle fois en femme. J’avoue qu’à ma grande honte, qu’une fois travestie une certaine excitation me prit. Se retrouver dans ce rôle de femme, me rappela ce que j’avais vécu dans le cinéma
Et je ne pus cacher une érection.
Mon entrée fut saluée par des quolibet :
« Alex paraît en grande forme » dit Pierre
« Pour une petite femme cette grosseur sous sa jupe paraît suspecte » dit Gérard
« Alex ne se sent plus dès qu’il se retrouve au cinéma » s’esclaffa Sonia !
Ils s’installèrent sur le canapé, face à la télé. Gérard était à gauche, puis moi, Sonia, et enfin Pierre.
« Nous allons commencer par la punition d’Alex » dit Pierre en lançant la projection. On voyait très bien Pierre et moi entrer dans le cinéma porno, comme un couple en recherche de sexe, Pierre s’installer avec moi à son coté. Puis un homme prenait place à côté de moi, me prenait la main pour la poser sur sa braguette ouverte. L’homme ensuite me courbait pour me coller carrément la bouche sur son dard en érection et moi qui docilement prenait ce membre dans ma bouche pour commencer sa fellation.
Pendant ce temps, Gérard avait passé son bras autour de mon cou en me tirant vers lui. Je se laissais faire et me laissai embrasser. Gérard avait passé son autre main sous ma jupe. Il remontait le long de mes bas jusqu’à atteindre la jarretelle. Il joua un instant avec l’élastique, le tendant et le relâchant alternativement. Il s’attaqua ensuite à la petite culotte. Elle était tendue par mon sexe en érection et la main ne trouva aucun obstacle quand elle se glissa sous le tissu. Je compris aussitôt ce qu’on me demandait : une bonne pipe. Laissant la main explorer ma culotte je me penchais vers le sexe de Gérard et l’avalais goulûment. J’avais une drôle d’impression, une main caressait mon sexe et moi en suçait un autre. C’était une sensation bizarre de sucer et d’être flatté en même temps. Je suçais vigoureusement, Gérard se cambrait de plus en plus pour pénétrer le plus profond dans ma gorge.
Durant ce temps Pierre et Sonia n’étaient plus spectateur, ils devenaient acteur. Pierre avait pris Sonia sur ses genoux et lui administrait une magistrale fessée.
« Préfères-tu la fessée ou le martinet comme l’autre jour ? »
« Quand elle est donnée par toi la fessée est un régal ! »
« Tu veux dire que je ne tape pas assez fort ? »
« Cela n’a pas d’importance, mon plaisir et d’être en travers de tes genoux, ma culotte baissée, et en train de me faire corriger »
« Tu étais moins fière l’autre jour ! »
« C’est que j’avais pris une raclée magistrale, mon derrière s’en souvient encore »
Pierre accéléra les coups, J accélérais ma pipe. Sonia gémissait de plaisir, Gérard râlait de bonheur. Quand Pierre frappait, J’aspirais, quand pierre levait la main je ma retirais.
Un moment Pierre dit à l’oreille de Sonia
« Maintenant je vais te baiser par ton petit trou »
Sonia rougit, de honte ou de plaisir.
« Mets-toi à genoux sur le canapé »
Sonia s’exécuta. Gérard me commanda à :
« Toi de même offre toi ! »
Et voilà Sonia et moi, à genoux sur le canapé, la jupe relevée, la culotte baissée aux genoux, attendant le mâle qui voudrait prendre son plaisir avec l’une ou l’autre.
Cette vision des femelles transformées en salopes mis l’excitation au plus haut degré.
« Maintenant on va les baiser toutes les deux, laquelle préfères tu Gérard ? »
« Je crois que je vais commencer par baiser Alex, juste le temps de bien baisser sa culotte ! »
« OK je prends Sonia pour commencer, on va les baiser en cadence »
Pierre approcha son dard de la rondelle de Sonia et la pénétra d’un coup de rein
Sonia gémit sous l’attaque.
Gérard avait plus de difficulté avec le mon petit trou, pas habitué à la sodomie. Il dû aller chercher du lubrifiant. Il put ainsi rentrer un doigt malgré les mes reculades, puis deux doigts qu’il fit tourner dans mon anus pour le détendre et agrandir l’espace qu’il devait percer.
Je gémissais doucement. Gérard approcha son gland de ma rondelle et le fit pénétrer de quelques centimètres.
« Cambre-toi bien tu auras moins mal » dit Gérard
J’obéis. Le gland s’introduit un peu plus loin. Par petits coups Gérard força ma résistance et finalement enfonça son épée jusqu’à la garde. Il put commencer ses allez retour dans cette chaude intimité
Pierre proposa
« Allez, maintenant en cadence,1 tu enfonces, 2 tu retires, OK ! »
Il se mit à compter lentement
« 1,2,1,2, 1, 2 … »
Les membres perçaient Sonia et moi. C’était divin cette harmonie dans le plaisir
Au bout d’un moment Pierre proposa de changer de partenaire :
« Et si on échangeait nos salopes ? »
« Bonne idée » dit Gérard.
Sitôt dit sitôt fait. Gérard attrapa Sonia par les hanches et la pénétra avec facilité. « Merveilleux se dit-il on à l’impression de rentrer dans une chambre d’amour tapissée de velours et de soie, si je devais qualifier son cul je dirais : soyeux »
Il se mit à baiser Sonia avec douceur et sensualité
Pour Pierre c’était différent. Il eut du mal à me pénétrer, mon cul semblait résister.
Pierre se dit :
« Voilà un trou qui me résiste et me donne envie de le mater. Ce cul invite à la domination ! tu vas voir ce qui arrive à ceux qui s’opposent à ma volonté »
Il commença à me bourrer sans ménagement. Il se dit : Rien à faire, même bien travesti un homme reste un homme. Une femme ça se baise, un travesti ça se ramone »
Pierre ne s’en priva pas. Il négligea les cris et mes supplications.
« Arrête mon chéri, tu me fais mal ! »
Pierre me répondit :
« Une pute comme toi n’a rien dire, juste à se soumettre et obéir »
Pierre continua son manège, à chaque coup de boutoir son ventre s’écrasait sur mes fesses, et poussais un gémissement. Pourtant ces cris de douleurs devinrent bientôt des cris de jouissance. Pierre était satisfait sa petite pute, elle en redemandait et il allait lui en donner.
On peut dire que Pierre me défonça.
Pendant ce temps Gérard et Sonia jouaient de sensualité. Sonia accompagnait tous les mouvements de Gérard pour leur donner plus d’ampleur. Elle aimait s’empaler sur son sexe quand il la pénétrait, et s’en dégager quand il se retirait. Ils jouaient à qui va faire jouir l’autre en premier.
Pendant ce temps Pierre explosait littéralement mon cul, sa petite pute, sourde aux supplications, aux demandes de grâce
Sonia déclencha la jouissance en fêlant comme une lionne. Du coup Gérard se lâchât en elle avec un cri aigu. Pierre ne se fit pas attendre, il me gicla dans le cul avec un cri de triomphe :
« Je t’ai baisé petite pute ! »
J’étais au comble de l’excitation et une rapide masturbation me soulagea.
Enfin Pierre dit :
« Avec tout cela nous n’avons pas même regardé le film »
Et Gérard de renchérir,
« Il nous faudra une deuxième séance de projection »
Et tout le monde d’approuver, même moi avec mon cul douloureux