Voici trois ans, divorcée depuis 7 ans, j’approchais de la cinquantaine et ma vie de femme active, hyper active, nécessitait des phases de décompression le week-end. Je vivais alors à Marseille, dans les quartiers sud et je sortais souvent avec des copines au parcours assez similaire. La cinquantaine, un job prenant, un divorce récent, le besoin de se lâcher le week-end venu. Je suis blonde, aux yeux bleus, fine et grande (1 m 74) avec des seins refait au galbe impeccable. Avenante, les copines comptent souvent sur mon entrain pour attirer les regards des hommes sur nous et de conversations en invitation que notre groupe de quatre finisse par être invité par un groupe d’hommes à partager la soirée.
Au printemps 2019, nous étions invitées à un anniversaire dans un lieu privatisé sur le bord de mer à Marseille dans le huitième arrondissement. C’est toujours une copine qui passe me prendre en voiture car je préfère une bonne soirée d’amusement sans prise de tête au moment de rentrer à la maison. Ce soir-là, c’est Martine qui était passée me prendre et qui devait me ramener. La soirée d’anniversaire à laquelle nous nous rendions fut conforme à nos attentes. Bonne musique, gens sympas, beaucoup d’alcool, sans doute trop pour moi car je résiste mal à la tentation. Nous avons dansé, bu, dansé encore, rigolé, chacune de nous a commencé à discuter avec des personnes que nous rencontrions pour la première fois. Déjà passablement éméchée, je suis abordée par deux hommes, qui me disent être frères, deux caricatures du Marseillais en goguette : accent, chemise à rayure, ray ban sur le front, pantalon de toile écru… et têtes de voyous des beaux quartiers. Je suis un peu en roue libre, bien gaie, me déhanchant avec quelques ratés. Les deux frères me racontent des histoires dont je ne comprends pas un traître mot, me mettent les mains sur les hanches ou l’épaule pour me parler et couvrir le bruit de la musique. On est dans la drague un peu lourde mais qui m’amuse bien ce soir-là.
Il est une heure passée quand je me mets en quête de Martine pour rentrer chez moi. Impossible de la trouver. Elle me dira le lendemain que m’ayant vu plus de deux heures accaparée par ces deux types, elle avait décidé de rentrer sans m’attendre. Un peu perdue, j’accepte la proposition des frères de me déposer chez moi « c’est sur notre chemin ».
Nous sortons et rejoignons leur voiture garée à quelques mètres de l’endroit, l’un des deux me tient par la taille « pour que tu ne tombes pas » et m’invite à monter à l’avant tandis que le deuxième larron se place sur le siège arrière juste derrière moi. Pas plus tôt démarré, j’ai déjà la main de l’un sur la jambe et de l’autre sur l’épaule, toujours sous un déluge de paroles et de flatteries diverses… Je porte une robe d’été plutôt légère. La main de l’un a tôt fait de la remonter haut sur ma cuisse et la main de l’autre d’en abaisser la bretelle pour aller de plus en plus loin dans l’exploration de ma poitrine. Je me laisse faire trouvant cela amusant et agréable d’être l’objet de cette double sollicitation.
Venant d’emménager dans un nouvel appartement et leur en ayant parlé, je me laisse convaincre de leur faire visiter et d’y prendre un dernier verre. Dès l’ascenseur, je suis au cinquième, les caresses se font plus pressantes et je sens le plus jeune presser son sexe durci contre mes fesses tandis que le premier, qui je l’avoue m’attire plutôt, force mes lèvres avec sa langue. C’est à peu près dans cet état que j’ouvre la porte de mon appartement. Aussitôt à l’intérieur, encore debout l’un et l’autre pressés contre moi, je me dis « maintenant pas le choix, faudra aller au bout »…
Mon appartement n’est pas grand et on entre directement dans le salon. Ils me guident vers le canapé, sur lequel nous prenons place, l’un penché au-dessus de moi m’embrassant toujours et l’autre affairé à déboutonner ma robe. Je sens leurs mains me parcourir tout le corps et leurs envies qui me semblent énormes commencent à m’exciter. Les doigts de l’un n’ont aucun mal à me pénétrer et je l’entends me dire à l’oreille « tu mouilles comme une cascade ». Celui qui me plaît sort sa queue de son pantalon et me la donne à sucer tandis que le second prend ma main pour caresser son sexe. Les deux frères ont été inégalement dotés par la nature, si le plus âgé, et le plus plaisant de visage en a une plutôt normale, le plus jeune a mis ma main sur un engin qui me semble énorme. Épais et long à tel point que je me dis, dans le demi-brouillard ou je me trouve : « ça n’ira jamais ».
Après quelques instants dans cette position je leur propose de « visiter » ma chambre. L’un d’eux demande si je n’ai rien à boire et sans attendre ma réponse explore mon réfrigérateur d’où il sort une bouteille de champagne Ruinart. Il ouvre la bouteille, me passe le goulot puis à son frère et ainsi de suite tout en continuant à me caresser. La bouteille vidée, et ma tête totalement ailleurs, nous passons dans la chambre. Évidemment je n’ai pas de préservatifs et eux non plus mais l’état dans lequel je suis n’est pas propice aux grandes réflexions. Le plus âgé ouvre la voie à son frère en me pénétrant et en jouissant quasi instantanément. « Ah tu m’as trop excité, bonne comme tu es ». Puis me remets la queue dans la main et la bouche pour que je le refasse durcir. Pendant ce temps, le deuxième me pénètre et là j’ai l’impression que je vais éclater. Heureusement que je suis abondamment mouillée. Il me prend lentement d’abord puis accélère le rythme. j’ai mes mains sur ses fesses et dans ma bouche la deuxième queue durcit à nouveau. Le premier se retire et veut que je m’allonge sur son frère qui se met sur le dos, mat bien dresse. Je le sens s’introduire dans mon cul et j’aime cette sensation d’être comme épinglée. Le deuxième place mes mains sur son sexe et me force à le guider dans mon sexe encore largement ouvert par la pénétration précédente. Je les ai maintenant tous les deux en moi et je ressens une profonde excitation qui se traduit, dès qu’ils commencent à aller et venir tous les deux, pour la première fois de la soirée par un profond, intense et magnifique orgasme dans lequel je m’entends dire « c’est bon »…