Une visio pas comme les autres

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alex condamines


camexhibition et voyeurisme


Ca s’est produit il y a un an de cela. Une période et des moments difficiles à oublier. Je travaillais pour un centre administratif, et il s’est rapidement avéré que les visioconférences devenaient une nécessité, car on avait besoin de se voir régulièrement, pour poser pas mal de choses, et c’était malheureusement impossible en présentiel.
Chacun était parti sur des voies qui n’en étaient pas, plateformes, messageries.
On nous a alors proposé d’unifier nos contacts sur une seule plateforme, ainsi que des formations pour apprendre à la maîtriser.
Ce qui était loin d’être mon cas.
Je me suis donc inscrit pour une formation en visio.
C’était un jeudi en fin d’après-midi. 17/19 heures. Nous étions huit.
J’ai reconnu le formateur. C’était l’un des trois formateurs du centre. Il avait une quarantaine d’années, et, comme pas mal d’hommes, il avait été victime d’une alopécie sans doute démarrée tôt, qui lui laissait le crâne totalement lisse. Il n’était pas spécialement beau garçon, mais il était très abordable et ses connaissances informatiques immenses.
C’est au milieu de la séance qu’une silhouette a fait son apparition. Avec Teams, il y a la possibilité de masquer son environnement avec un fonds d’écran. Ca n’avait pas été son choix, et on voyait donc une grande pièce, qui était un bureau-bibliothèque. derrière la table à laquelle il était posé, des casiers prenaient le mur, occupés par des livres, des dossiers, avec une ouverture à droite à la fois vers une autre pièce, et vers l’extérieur avec une porte-fenêtre.
C’est au bout d’une heure que les choses sont devenues nettement plus intéressantes. Il n’y a pas vraiment prêté attention mais une silhouette féminine a fait irruption dans le champ. On ne l’a d’abord vue que de dos. Je ne sais pas ce qu’ont ressenti les hommes qui suivaient la visio comme moi, mais j’ai été troublé. On discutait parfois, et il nous parlait de sa femme, institutrice. J’ai imaginé que c’était elle.
Une silhouette que j’ai immédiatement trouvé séduisante. Une grande femme, j’avais toujours aimé les grandes femmes, avec des formes pleines. On arrivait aux beaux jours, alors elle portait une robe de printemps, rouge avec des fleurs blanches, mais ses jambes étaient encore gainées de nylon. Elle avait une chevelure châtain épaisse et longue qui coulait sur ses épaules.
On ne l’a pas vue de dos. Sans doute que le mystère, le fait de ne pas voir son visage, et la partie face de son anatomie la rendait plus attirante. Il vaut mieux parfois, souvent même, imaginer que voir. Avec une touche de crainte cependant. Parfois de jolis dos dévoilent des partie face pas vraiment attirantes.
En fait, on a eu vraiment plus qu’on ne pouvait espérer. La robe était courte, elle descendait de quelques centimètres sur ses cuisses, pas plus.
Ca s’est fait par étapes. Elle a commencé par regarder les casiers à son niveau, d’évidence à la recherche de quelque chose. Puis, ne trouvant pas ce quelque chose, elle est descendue d’un cran. Il y a certaines logiques de mouvement, l’une d’entre elles étant que, si elle se penchait ainsi en avant, la robe remontait. Ca n’a été que de quelques centimètres, mais ça a été suffisant pour qu’on puisse voir apparaître la largeur d’une jarretière élastique. Je n’avais pas vraiment fait d’hypothèse, mais j’aurais pensé qu’elle portait un collant dessous, et pas des bas auto-fixants. C’était une touche troublante, quelque chose d’érotique, qui laissait penser qu’elle était une femme qui avait un désir de séduction.
Apparemment, la case en dessous ne contenait pas non plus ce qu’elle cherchait. Elle aurait pu se mettre à genoux, au lieu de cela elle s’est pliée. La robe était sans doute vraiment courte, et elle est vraiment remontée, nous donnant à voir une bonne moitié de ses fesses nues. J’ai d’abord pensé qu’elle portait un string, qui laissait sa partie postérieure à nu, avant de comprendre, parce qu’on voyait bien le dessin de son sexe entre ses cuisses, qu’elle n’avait pas de sous-vêtement.
A ce moment, sans doute que les hommes présents n’écoutaient plus grand chose, totalement obnubilés par la vision de ces rondeurs jumelles, ma foi bien dessinées, et qui semblaient fermes, et par ce qu’on pouvait apercevoir de son sexe entre ses cuisses. Comme la pièce était bien éclairée, les baies vitrées donnant de la lumière, on distinguait le dessin de ce bourrelet qui obsède tant d’hommes, un gonflement coupé en deux, on voyait même les bouts de lèvres qui en sortaient.
Les meilleures choses se terminent, les pires aussi. Elle a fini par se redresser. Ce type de moment est toujours trop court.
J’ai poursuivi la visio, partagé entre le cours prodigué, et ces images qui tournaient en boucle dans ma tête. Il avait la chance d’avoir une compagne séduisante.
Sa séduction, on en a eu un aspect plus soft quelques minutes plus tard. Elle est en effet rentrée dans la pièce cette fois en passant par la porte sur la droite. On a eu l’occasion de voir son visage, bien dessiné, avec des lèvres pulpeuses, et de grands yeux marrons, quelque chose de chaleureux, mais aussi de sensuel, en accord avec son corps.
Elle tenait un bouquin à la main, et elle s’est posée quelques instants pour chercher la page qui l’intéressait. Elle était juste à côté de la baie vitrée. Si les rayons du soleil traversaient celles-ci, ils ont également percé le tissu de sa robe, nous donnant un autre aperçu de son corps. Je ne m’étais jamais rendu compte, et je n’avais pas réfléchi non plus, à quel point des vêtements pouvaient devenir transparents sous différents effets. Et là, la lumière crevait véritablement le tissu pour donner à voir de manière très nette ses seins et son ventre. Pas plus qu’elle n’avait de culotte, elle ne portait de soutien-gorge sous sa robe. Mais elle n’en avait pas vraiment besoin. Ses seins, ovales, lourds, étaient parfaitement fermes, avec des aréoles roses larges, et deux tétons de la même teinte. Ils faisaient envie, dans leur dessin et leur fermeté. Elle est restée un moment ainsi avant de s’éclipser.
Le plus important s’est passé à la fin de la visio. Il est arrivé un moment, au bout d’une heure et demi où tout a été dit. Il y a eu des questions, puis des mercis, des formules de politesse, et les quinze apprenants se sont déconnectés petit à petit.
Je ne sais pas pourquoi je suis resté. Sans doute que je SENTAIS que quelque chose allait se produire.
Je ne sais pas ce qui s’est passé. J’ai eu le sentiment qu’il se penchait sur l’ordinateur pour faire des réglages, mais la caméra est restée ouverte. Et le micro aussi. Je savais qu’on pouvait prendre le contrôle d’un ordo à distance. J’ai eu le sentiment que c’était peut-être ce qui s’était passé. Un participant voulait-il en voir plus?Je me suis trouvé pour ainsi dire le bénéficiaire heureux de cette initiative.
Il a légèrement reculé son fauteuil de bureau et attrapé sa tasse de café. Il a constaté qu’elle était vide. Il a appelé:
—Chérie, tu peux m’amener un peu de café?
Elle est arrivée, avec sa robe et sa séduction. Elle avait une cafetière à la main, bien qu’on soit en fin de journée. Elle a versé du café dans la tasse avant de rajouter, sur un ton neutre:
—Ca te dirait une fellation en plus?
Il n’a pas eu l’air surpris, preuve sans doute qu’ils étaient coutumiers de rapprochements de la sorte. Il n’a rien répondu
pendant qu’elle ouvrait son pantalon et en sortait une queue encore toute molle, sur laquelle elle a plongé avec une envie évidente. Elle a donné des coups de langue dessus, tournant rapidement autour du membre qui a pris du volume très vite, devenant long et dur. Il y avait en elle une avidité évidente, celle d’une fille qui aimait le sexe. Elle est descendue sur les couilles gonflées, les parcourant de sa langue, en même temps qu’elle masturbait doucement la queue qui gonflait encore, à présent impressionnante de taille.
—Voilà une bonne queue qui sera bien au chaud dans mon ventre, elle a dit en se redressant, et en faisant passer sa robe par dessus ses épaules, dévoilant entièrement une nudité plus qu’entraperçue.
Elle avait un corps comme je les aimais, grand, plein, charnu, sans surpoids cependant. Elle avait des seins, des hanches, des cuisses, des fesses…Me tournant le dos, elle est venue se positionner au dessus de la queue roide. Elle avait des fesses bien pleines, rondes et qui semblaient dures, dont je pouvais enfin voir l’intégralité. Un sillon profond les séparait.
Entre ses cuisses, son sexe était tout gonflé, mais aussi tout ouvert, ses lèvres bien sorties d’excitation, allongées en dehors, huileuses des jus qui s’écoulaient d’elle. Elle s’est faite descendre de quelques centimètres, a attrapé la queue du bout de doigts de sa main gauche avec l’intention évidente de la rentrer en elle. Elle s’est encore abaissée de quelques centimètres, et l’a guidée vers ses lèvres…La queue est partie un peu sur la gauche, puis elle l’a posée pile sur ses lèvres, et elle est descendue, l’avalant, jusqu’à ce que le membre soit entièrement en elle, ses jambes gainées de nylon calées de part et d’autre du corps de Vincent, ses fesses ouvertes par sa position, son anus visible. Elle s’est d’elle-même, sans qu’il lui impose, donné un rythme, se faisant monter et descendre sur la queue qui apparaissait et disparaissait, à chaque fois différente, plus gorgée de sang et trempée des jus de plus en plus abondants de la belle femme, jus qui ruisselaient sur la queue, mais aussi sur ses chairs à elle, comme une fontaine miraculeuse.
Ce que j’ai trouvé troublant, j’y ai repensé très souvent par la suite, c’est la manière qu’elle a eu de tourner sur lui. Avec souplesse, et en gardant la queue dans son ventre. J’ai imaginé ce que cela pouvait être que de sentir, dans un mouvement différent, la muqueuse vaginale, souple et délicate, caresser la queue pendant qu’elle tournait. J’aurais certainement joui. Ca n’a apparemment pas été le cas, et, après m’avoir tourné le dos, elle me faisait maintenant face.
C’était vraiment étrange. En fait, c’était peu comme si, malgré la distance, malgré les écrans, nous étions partenaires, elle était assise sur moi. C’était vraiment une jolie femme, dans l’épanouissement de sa maturité, plus troublante sans aucun doute qu’une femme plus jeune. Et puis j’aimais ces détails que je voyais très nettement, avec la précision de la caméra, et de la transmission. Le dessin de ses seins, ses tétons gonflés, ses cheveux épais et brillants, les expressions sur son visage qui disaient son plaisir, mais aussi la manière dont son sexe était pris par la queue de son mari, qui allait et venait en elle dans la muqueuse ouverte et écartelée. Ses lèvres s’étaient bien allongées, se gorgeant de sang à cause de son excitation, et elles frottaient contre la queue alors que celle-ci bougeait dans sa muqueuse.
Elle a récupéré la queue, la sortant de sa muqueuse, pour la poser contre son ventre. Avait-elle senti qu’il allait jouir? Sans doute que oui. Elle l’a bien collée contre sa chair. Deux secondes plus tard, le premier jet de sperme jaillissait, blanc, copieux, qui a atterri sur ses seins. Elle l’a laissé jouir, il a arrosé son ventre, ses seins, les jaillissements se calmant enfin.
J’ai pensé qu’on allait en rester là, mais ça n’a pas été le cas. Elle s’est soulevée légèrement et elle a amené la tête de la queue contre ses plissements anaux.
Qu’elle puisse ainsi utiliser sa queue alors qu’il venait de jouir, avec la certitude que son érection se maintiendrait, et qu’elle le laisse la sodomiser, un acte plus intime me semblait-il qu’une pénétration classique, laissait penser qu’ils étaient vraiment très intimes. Ce qui a pris une dimension autre plus tard. Certains couples faisaient l’amour par obligation, sans complicité, et sans pousser très loin la recherche de leur plaisir. Ici, au contraire, on sentait bien qu’entre eux, il y avait une réelle complicité qui se marquait dans leur sexualité, mais aussi au-delà.
En dehors de mes partenaires, et sans doute même avec elles, je n’avais certainement jamais vu d’aussi prês l’intimité d’une femme. Son sexe était à présent bien dilaté d’excitation, il était largement ouvert, on voyait son intérieur dans sa quasi-intégralité,son utérus au fond, les parois roses et suintantes, ses lèvres s’étaient remplies de sang, et étaient étendues en dehors d’elle…En haut de ses lèvres, son clitoris était décalotté, une grosse boule ronde qu’elle s’est logiquement mise à frotter. Je n’étais pas un expert en clitoris, mais je savais que la source du plaisir était là, dans cette zone ultra-innervée. C’est d’ailleurs, alors que la queue allait et venait dans son anus, un véritable torrent de sécrétions qui a coulé d’elle, des liquides ruisselant sur ses chairs.
La jouissance est arrivée au bout de quelques minutes. C’est lui qui a joui d’abord. Je l’ai vu à la manière que ses couilles ont eu d’être agitée par des spasmes. Elle a poussé un long gémissement, se tordant pendant qu’il libérait son sperme dans sa cavité anale. J’imaginais sans mal la queue agitée de spasmes, crachant jet après jet, des jets qui venaient cogner contre ses parois internes, et lui donnaient du plaisir. Un plaisir qui n’était pourtant rien en comparaison de celui qu’elle a eu lorsqu’elle a joui. C’est plus de frotter son clitoris que de sentir la semence jaillir dans son fondement qui l’a faite exploser. Elle a poussé un cri, s’est tendue. Dans un même temps, elle a éjaculé, comme le fait un homme, mais de manière évidemment différente, des jets d’un liquide blanc qui ressemblait à du sperme mais n’en était d’évidence pas venant  s’éparpiller dans les airs. Il y en a même eu en travers de la webcam de l’ordi. Elle s’est totalement relâchée, se basculant en arrière, alors qu’une crème blanche coulait de son sexe.
La suite est survenue après le moment de pause. Elle s’est dégagée. La queue de Vincent était restée dure. Elle y a jeté un coup d’oeil, mais visiblement, elle n’avait plus envie de sexe. Encore à poil, me permettant un dernier coup d’oeil sur son anatomie qui me plaisait énormément, elle s’est éclipsée par la porte du fond. Vincent a rengainé sa queue et s’est éclipsé lui aussi, mais dans l’autre sens. L’image est restée sur la pièce. Quand je suis revenu après avoir diné, l’écran était noir.
La conclusion, la véritable conclusion a eu lieu quelques mois plus tard. Comme on s’entend tous bien, une fois les beaux jours arrivés, on s’invite mutuellement pour des séances barbecue.
C’est comme ça que Vincent nous a invités au beau milieu du mois de juin. On s’est retrouvés, une trentaine, chez lui.
La surprise de ma vie, je l’ai eue quand, m’accueillant, c’était la première fois que je venais chez lui, il m’a dit: ‘Je te présente ma femme, Gaëlle…’
Je me suis efforcé de masquer ma surprise.
La femme qui se trouvait devant moi, une rousse fine, n’était pas celle qui s’était empalée sur sa queue le jour de la visio.
C’est en partant, le soir que je l’ai vue. Et reconnue.
Une voisine. Elle habitait juste en face. Grande, sexy, moulée dans un caleçon très collant qui mettait en valeur ses charmes. Elle m’a souri.
Vincent était sans doute soucieux d’entretenir des relations de bon voisinage.

 

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