Usine de textile partie 1

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Frederic Gabriel


adultère


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Je suis fonctionnaire au Ministère de l’Intérieur à Paris. Une vie ni originale ni palpitante, mais dont la texture me satisfait entièrement. J’ai passé un concours, et j’ai quitté ma province natale, la Champagne pour monter à Paris. J’ai un bon poste, parce que j’ai passé des concours internes. Je ne serai jamais riche, c’est sûr, mais à trente-cinq ans, j’ai le minimum de sécurité que je convoitais.

Pour mes cinq semaines de vacances, j’aime m’aventurer dans des régions que je ne connais pas. Cette année, j’ai fait le choix de louer dans le Sud-Ouest, grâce à un service de location privé du net. On paye bien moins cher que les locations par des moyens plus classiques, en étant en contact direct chez l’habitant.

J’ai pris un risque, et je ne l’ai pas regretté, vu tout ce qui s’est passé cet été-là.

Je l’ai découvert en arrivant, la grande maison de pierre dont j’allais occuper une partie de l’espace était située un rien excentrée dans un petit village de 3000 habitants. Il y avait un centre ville avec quelques maisons, des maisons hautes anciennes moyenâgeuses, et des quartiers plus récents.

Mes hôtes avaient retapé une maison malheureusement à l’abandon, et ils en avaient fait une demeure qui avait beaucoup de charme, avec une alliance d’ancien, des poutres apparentes par exemple, et de moderne, dans le mobilier. Je m’y suis tout de suite plu.

Ils avaient aménagé un appartement totalement indépendant, avec une chambre, un living, une cuisine et une salle de bains. On pouvait y accéder par l’extérieur, un escalier, mais aussi par l’intérieur. Cet appartement jouxtait le premier étage de la maison, leur partie comprenant plusieurs chambres, une salle de bains, une salle de jeux…En bas on trouvait une cuisine et un immense living. De plus la maison bénéficiait de beaucoup d’espace extérieur, un immense terrain avec de la pelouse, des arbres.

Le couple qui m’accueillait avait à peu près le même âge que moi. L’homme, la trentaine, tenait une petite entreprise. Jovial et chaleureux. Sa femme m’a immédiatement troublé. Une petite brune piquante, pas très grande, fine, mais avec des formes affirmées, et qui se mettait en valeur avec des tenues collantes. Je me souviens de l’érection que j’ai eue la première fois où je l’ai vue, ainsi de celles qui ont suivi…Les pantalons très moulants, les jean serrés, les débardeurs décolletés, les tailleurs avec des jupes courtes, et juste un soutien-gorge dessous, c’était pour elle. Certaines filles sont moyennement belles, mais elles savent se mettre en valeur. Elle appartenait indéniablement à la première catégorie. Elle avait en plus un net penchant pour l’exhibitionnisme. Comme je suis plutôt sociable, plutôt que de rester dans mon coin, alors que j’avais tout ce qu’il fallait pour cela, j’avais tendance à rester dans l’espace commun et à venir partager mes repas avec eux. Je me souviens la première fois où je l’ai vue nue. C’était un dimanche matin. Je descendais pour venir prendre mon petit déjeuner. Elle préparait le sien. Première vision qui devait être suivie par plusieurs autres de son corps dénudé.

J’en avais déjà vus, et regardés, des corps de femmes. La leçon que j’en avais tiré, c’était, que sans être moins attirants pour autant, les corps féminins, tout comme les corps masculins, étaient souvent disharmonieux. Au contraire, la fille qui était devant moi, dont je ne voyais pour l’instant que le dos, était un corps dont les proportions étaient parfaitement équilibrées. Un dos large, évasé, qui se resserrait pour une taille fine, et qui reprenait ensuite de la largeur au niveau des hanches. J’ai été frappé de constater que ses jambes étaient vraiment bien dessinées, cuisses pleines, mais mollets en finesse. Comme tous les hommes, je me délectais de regarder les culs des filles, et le sien était indéniablement d’une rondeur parfaite, ni trop, ni trop peu, bénéficiant du galbe de sa chute de reins cambrée, qui redressait ses fesses, fendues en deux par un sillon bien marqué.

Je me suis dit que, si le côté face valait le côté pile, elle devait être parfaite.

Elle s’est retournée, une cuillère à la main, et elle m’a souri.

Je finis de préparer mon petit déj et je vais m’asseoir. On va le prendre ensemble, si tu veux.

Le devant valait le derrière. Elle avait une magnifique poitrine, haute, ferme et pleine, avec de larges aréoles, et des tétons que la fraîcheur matinale faisait pointer. J’ai suivi du regard les courbes de sa taille et de ses hanches jusqu’au pubis, épilé sauf pour un triangle brun qui confirmait sa couleur de cheveux.

Elle a semblé s’apercevoir qu’elle était à poil.

Pardon, hein, j’espère que je ne te choque pas. Je suis très libre, tu sais.

Ça ne gêne pas ton copain que tu te promènes quand vous recevez des gens… ?

Oh, il n’est pas jaloux. Mais dis donc, tu bandes…Je te plais…

En même temps qu’elle parlait, elle a tendu la main vers mon pantalon, et je me suis rendu compte que j’étais tout gonflé, la queue dure jusqu’à en être douloureuse, et que mon érection était plus qu’évidente, tendant le tissu du pantalon de pyjama.

J’aurais du reculer, échapper à la caresse de sa main, que j’ai sentie, douce, et chaude à travers le tissu. Mais je n’en ai rien fait. Je n’y pensais pas la seconde d’avant, mais maintenant, je n’avais plus qu’une envie, qu’elle me caresse. Simplement sa main sur moi, ça me suffirait. Cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas eu de femme, et je comprenais à quel point j’avais envie de me soulager. Je n’avais pas l’habitude de me branler, et j’avais mis un mouchoir sur ma sexualité ces derniers temps. Mais ce qu’on veut remiser dans les oubliettes revient avec d’autant plus de force, et j’avais terriblement envie de sexe. Elle aussi sans doute. Elle m’a caressé doucement à travers le tissu.

Surtout, retiens-toi et contrôle-toi. Je veux pouvoir profiter de ta bite.

C’était somme si tous les nerfs de ma queue avaient été à vif, et cette sensation remontait dans mon ventre. J’avais très envie de jouir, mais tout autant de me retenir, pour profiter le plus longtemps possible de sa caresse. Elle a fini par tirer bas mon pantalon de survêtement, dévoilant ma queue. Je ne me rappelais pas d’avoir été aussi raide de par le passé. J’ai jeté un coup d’œil à ma queue. Oui, elle n’avait jamais été aussi longue, aussi dilatée. Je le lui devais. Je me suis dit qu’elle serait une partenaire idéale… Mais elle vivait avec un homme. Pourtant c’était sa main qui encerclait ma queue, et la caressait doucement, en modulant les caresses, pour éviter que je ne jouisse. C’était cela qui me tendait et me tordait, tout comme le fait qu’elle se soit rapprochée de moi, suffisamment en tout cas pour que je sente sa chaleur, et aussi une odeur de cannelle qui était sans doute celle de son gel douche ou d’un parfum. J’avais l’impression qu’elle avait pénétrer en moi, en s’avançant encore, que nos chairs allaient se retrouver mêlées, pour ne plus faire qu’un seul corps.

Elle s’est effectivement avancée encore un tout petit peu et elle a guidé mon gland, qui n’avait jamais aussi dilaté, une grosse boule rouge ouverte au milieu par une déchirure dont suppuraient mes pré-sécrétions, qu’elle est venue frotter contre ses lèvres. Le premier contact a envoyé une décharge d’électricité dans mon corps, et ça n’a pas cessé alors qu’elle inaugurait un mouvement de frottement régulier. Je percevais leur texture, une chair souple et fragile, terriblement sensible, comme l’était la chair de mon gland. Elle aurait pu me faire rentrer plus loin, même si probablement dans cette position, elle ne m’aurait pas avalé totalement, mais c’était bon comme ça, ça créait même des sensations plus fortes que si j’avais été planté en elle. Et puis, comme cela, elle n’avait pas besoin de me mettre une capote.

Elle a remonté mon gland un peu plus haut, à la naissance de ses lèvres, frottant à l’endroit où de la chair encapuchonnait son clitoris.  Il s’est produit quelque chose d’étrange : j’ai senti, avant même de le voir, son clitoris contre mon gland. J’ai baissé les yeux, parce que j’avais une impression de volume, et j’ai été surpris de voir darder de sous le capuchon un clitoris bien plus conséquent que celui de toutes les femmes avec lesquelles j’avais pu faire l’amour. On s’est engagé dans quelque chose d’aussi surprenant qu’improbable. Elle a frotté la pointe de chair qui s’allongeait comme mon sexe s’était allongé quelques minutes plus tôt. La sensation était  sans rapport avec la réalité. Même si son clitoris était imposant, il n’était pas aussi gros qu’une bite, et pourtant j’avais l’impression que c’était l’équivalent de ce qui se dressait entre mes cuisses.

Le moment où l’orgasme s’est amorcé en moi, partant d’un point zéro, a été celui où elle a amené son clitoris à l’entrée de mon méat et où elle l’a poussé a l’intérieur, avec sur son visage, baissé, comme le mien, pour regarder, une fascination aussi puérile qu’intense. Je n’avais pas imaginé qu’un jour, une femme puisse me pénétrer. Ni que j’aurais l’impression que quelque chose d’épais, d’immense, me prenait. Au final, comme si elle avait une queue…

Elle a enfoncé son clitoris aussi loin qu’elle pouvait dans mon méat. J’ai poussé un feulement. La jouissance montait trop vite, et je voulais la maîtriser, la ralentir, pour profiter encore de ce moment. Verrouillant ce qui s’amorçait, cette chaleur qui n’avait été qu’un point au départ, mais qui commençait à s’étendre, je l’ai laissée aller et venir dans mon méat, comme j’aurais pu le faire dans son vagin si elle m’en avait donné l’occasion. En fait, ça fonctionnait dans les deux sens, et si elle poussait mon excitation dans ses plus extrêmes limites, la sienne aussi s’exacerbait, à en juger par son expression, mais aussi les frémissements qui agitaient son corps. On a joui quasiment en même temps, ce que j’ai pris comme un signe. Son clitoris était fiché dans mon méat quand le premier jet de semence est sorti de moi, enrobant la tige de chair d’une crème blanche. Elle a reculé, et elle a eu un autre geste qu’aucune fille n’avait eu avant devant moi, redressant ma queue qui se vidait, de jet de sperme copieux en jet de sperme copieux, s’arrosant volontairement le corps de ma semence, qui frappait sa chair délicate, sur le ventre, mes hanches, le sexe, et même plus haut sur les seins. Elle riait en se faisant arroser. Ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas eu d’orgasme que j’ai eu l’impression de me vider de litres de sperme accumulés pendant des semaines, ce qui était biologiquement faux. Mais il y en avait suffisamment pour qu’elle soit, vision excitante, souillée de sperme. Elle l’a été encore plus quand elle a ramassé les traits de sperme et les a avalés l’un après l’autre, se nourrissant de mon sperme.

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