VINCE ET LA TIG
partie 2
J’avais divorcé cinq ans plus tôt, on ne s’entendait plus ma femme et moi, et je savourais depuis une liberté qui n’avait pas été mienne avec une épouse étouffante.
Je suis repassé chez moi et puis j’ai été rejoindre Florence. On se voyait très régulièrement elle et moi, tout en préservant notre liberté. Elle avait deux ans de moins que moi et elle aussi avait été mariée. Un mariage pas forcément heureux. Elle était instit, mais sur la commune voisine, bien qu’habitant dans les limites de la notre. Elle était brune et extrêmement sexy. Quoi qu’elle porte, elle savait être toujours désirable. Il y avait en elle quelque chose de très féminin. Elle avait un extraordinaire sens de l’humour qui m’avait séduit lorsqu’elle était venue me chercher pour des conseils pour monter un jardin dans son école. De fil en aiguille, on s’était de plus en plus souvent revus jusqu’à ce que nos relations prennent une autre dimension.
Quand j’ai sonné, elle est venue ouvrir. Elle était en tailleur, un tailleur noir, avec une jupe courte qui dévoilait de très jolies jambes. Ce qui me plaisait bien avec elle, c’était qu’elle mélangeait du classique, comme ce tailleur on ne peut plus sombre avec du troublant. Et le troublant, c’était souvent moi qui en profitais. Je recevais souvent une photo le matin, qui occupait ma journée et m’incitait à la rejoindre le soir. Ce matin, elle m’avait envoyé une photo d’elle une fois habillée, assise sur le lit, jambes ouvertes, jupe retroussée. Son seul parement, c’était une paire de bas stay-up, et son ventre était totalement nu. ‘Ce soir, tu viendras fouiller sous ma jupe. Il y a des choses intéressantes.’
D’habitude, ca tournait dans ma tête, mais aujourd’hui, il y avait eu des interfèrences. Je me sentais d’ailleurs un peu honteux de l’avoir trahie. Et de la trahir encore. Ma queue, dure, dans mon pantalon n’était pas, comme à l’habitude, issue d’une journée de fantasmes en pensant à elle.
Elle s’est accrochée à moi, plaquant son corps au mien, et sa bouche est venue chercher la mienne pour un baiser intense.
–Hmm je sens quelque chose de bien dur dans ta poche. Tu as oublié un tournevis sur toi ?
J’ai apprécié cette habitle reprise transformée d’une réplique de Mae West. Elle a été tout aussi habile pour aller chercher ma queue dans mon pantalon, la sortir des tissus qui l’enveloppaient et la caresser.
–Il faut croire que cette photo t’a plu…Tu n’a jamais été aussi gros…
Difficile de lui répondre que si j’étais aussi gros c’était parce que j’avais passé la journée avec une fille qui avait tout fait pour me troubler, et qui me troublait, indéniablement. Que je l’accepte ou pas.
–Si on rentrait, j’ai suggéré, alors qu’elle faisait aller et venir sa main sur ma queue. J’ai envie de voir en trois dimensions ce qui n’était qu’un simple cliché ce matin.
–Ca peut s’arranger facilement, elle a dit.
Elle m’a tiré vers l’intérieur. Ces moments entre elle et moi étaient toujours très forts. On s’entendait bien, elle et moi, une complicité qui s’exprimait sous bien des facettes. Y compris dans le sexe.
Elle m’a entrainé dans le living, et elle s’est laissé basculer sur le divan. Sa jupe a glissé toute seule, remontant le long de ses jambes fines. Son corps était délicatement dessiné.
–Tu peux regarder, mais tu dois caresser aussi.
J’ai d’abord pris le temps d’embrasser la totalité de la perspective qu’elle m’offrait. Elle aimait bien porter des escarpins avec des talons fins et hauts qui la réhaussaient mais aussi la cambraient et la mettaient encore plus en valeur. Escarpins noirs, jambes longues et fines, gainées par des bas stay-up qui cessaient leur course à mi-cuisse, avec une jarretière en dentelle, et ce ventre nu, une déchirure rose dans une chair blanche. En dessous d’une toison brune bien fournie. Elle m’avait demandé un jour si je voulais qu’elle rase sa chatte. ‘Non, je préfère une fille avec une belle chatte’, je lui avais répondu. Et c’était vrai.
–Alors ? La réalité tient les promesses de la photo ?
A cet instant, j’avais totalement oublié la blonde qui faisait sa peine. Flo avait tout ce que pouvait attendre un homme.
–Et en plus, tu as droit à un bonus, elle a ajouté, en venant glisser ses deux index dans son sexe, et se faisant béante, elle qui était déjà ouverte.
Le regard rivé à cette vision qu’elle m’offrait et qui disait qu’elle s’offrait, je me suis mis à caresser ses jambes. Sa chaleur montait en moi, et j’aimais le contact des bas, doucement électrique. Elle a retiré ses doigts d’elle, mais rassemblé son index et son majeur de la main gauche pour venir se caresser, appuyant sur la zone de son gland clitoridien. Le résultat a été immédiat…Ses liquides intimes se sont mis à couler d’elle de manière plus abondante, et le gland clitoridien s’est décalotté,apparaissant nettement, qu’elle a frotté, le faisant croitre et prospérer. J’étais encore sur ses jambes, remontant, deux rythmes différents au final, mais qui se rejoignaient, sa main sur elle, rapide, qui lui donnait du plaisir, comme quand elle était seule, et les miennes, plus lentes, pour proiter du moment. Je savais, elle me l’avait confié, que dans la journée, quand elle restait seule, il lui arrivait de se caresser, plusieurs fois même. Elle m’avait parfois écrit quelques lignes, ou envoyé quelques photos. Ses gestes n’étaient sans doute pas différents de ce qu’elle pouvait accomplir à présent sous mes yeux.
J’ai dépassé ses genoux, arrivant sur ses cuisses, et à l’attache élastiquée. Au-delà, il y avait une autre sensation, celle de sa chair nue. Elle a délaissé son sexe, se caresser comme elle l’avait fait l’avait bien ouvert, je pouvais voir son intérieur rose et son gland clitoridien qui dardait jusqu’à l’obscénité. Fin et long. Sa jupe était accrochée à ses hanches, son ventre libéré, et je n’ai pas été surpris, alors que j’arrivais à ses aines, quand elle m’a dit :
–Viens me caresser avec la bouche, j’en meurs d’envie.
J’ai glissé jusqu’à ses chairs intimes. Ma queue était dilatée à éclater, et pour apaiser les tensions qui étaient en moi, je me suis mis à me frotter contre le tissu doux mais un rien rugueux du divan. Je suis venu sur ses lèvres, trempées de ses sécrétions intimes. Elle ruisselait, et je n’ai eu qu’à la boire, son goût semblable mais toujours différent coulant en moi. Je l’ai lapée longtemps, en parcourant ses chairs, avant de venir sur une envie qui était devenue un rituel et lui donnait du plaisir. Quand son gland clitoridien était bien érigé, quasiment au maximum de son érection, je le prenais dans ma bouche et je le suçais. C’était une sensation étrange, qui me troublait, que d’avoir cette chair dans la bouche. Elle était délicate et cependant bien ferme, et me donnait l’impression d’un acte qui allait dans deux sens. Je prenais son gland clitoridien, pour, en le caressant de la bouche, lui donner le maximum de plaisir. C’était le moment où, je le sentais bien, elle s’abandonnait totalement, se donnait à moi. Et, en sens inverse, j’avais une sensation trouble, celle qu’en glissant son clitoris en moi, et en le faisant bouger dans les moments où je cessais sa caresse, mais elle, elle bougeait en me donnant de grands coups de bassin, elle me prenait, un peu comme si elle avait eu une queue, et qu’elle m’ait pénétré.
J’aimais qu’elle recherche le plaisir, qu’elle ne soit pas, comme l’avait été ma première et unique femme, crispée lorsque venait le moment de rapprochements physiques.
–Je crois que je suis entrain de jouir, elle m’a prévenu.
Ce que je percevais, en tout cas, disait que c’était effectivement qui se produisait. Son corps s’est tendu, il y a eu un déferlement de liquides qui sont venus m’arroser, en jets successifs. Ces moments, sur son sexe et sur son gland clitoridien m’excitaient toujours terriblement, et je devais me retenir pour ne pas jouir moi aussi. Mais je voulais garder une queue bien dure, j’étais très dilaté pour la suite. Il n’y avait d’ailleurs pas vraiment de scénario écrit, mais elle aimait, et moi aussi, passer d’une action à l’autre. D’ailleurs, elle m’a soufflé :
–J’ai envie de sentir ton sexe dans mon ventre. Maintenant. Que tu me remplisses bien et que tu me fouilles bien. Longtemps.
Je me suis dégagé. Elle a attrapé un préservatif sur la table à côté du divan. Ca faisait longtemps qu’on se fréquentait, on aurait pu s’en passer, mais elle avait peur que prendre la pilule ne suffise pas et elle ne se sentait pas pour l’instant d’avoir un enfant si par hasard je la fédondais. Elle est venue se caler au-dessus de moi, avec un grand sourire en contemplant ma queue.
–Tu es très gros c’est bien. Tu vas bien me caresser.
Elle a ajusté le latex d’un mouvement souple avant de venir se placer au dessus de ma queue et de se laisser descendre dessus. Elle a fermé les yeux et poussé un petit gémissement. Son sexe a avalé le mien, jusqu’à ce qu’elle soit posée sur mon pubis. Ca me troublait toujours de me voir ainsi englouti par le sexe d’une fille, et ensuite que les sensations m’assaillent. Sentir autour de moi la gaine soyeuse et délicate d’un sexe féminin me plaisait, et je n’avais jamais épuisé ce bonheur. Et c’était bien quand c’était avec une personne avec qui je me sentais en harmonie, comme elle.
Je l’ai attrapée par les fesses, et je me suis mis à la faire bouger sur ma queue. On caressait mutuellement nos chairs les plus intimes et les plus sensibles, dans un plaisir grandissant, en perdant pied par rapport à la réalité, dans une communion qui me séduisait toujours. On a fait durer aussi longtemps qu’on a pu, jusqu’au moment où on a explosé. J’ai été emporté par le feu de la jouissance, crachant de multiples jets de semence dans le préservatif, semence qui est venue cogner contre ses muqueuse. Elle s’est mise à se tordre, démultipliant son plaisir en frottant son gland clitoridien qui saillait, sans doute au point extrême de son gonflement à ce moment précis.
Après ces moments de plaisir, une douche, un diner léger, elle m’a proposé de rester la nuit avec elle. On n’a pas pu resister et on a eu encore un moment de sexe, un 69 qui nous a donné encore du plaisir avant qu’on ne s’endorme, épuisés.
Jessica a fait irruption dans mes rêves. Ca a été curieux, parce que je l’avais totalement oubliée, dans ce moment avec ma maitresse. Ca ne devait d’ailleurs pas être le cas les fois suivantes. Mais j’avais encore eu du répit.
C’était un rêve, bien sûr, mais j’ai eu un sentiment bizarre, comme si ça avait été elle qui, a distance, faisait irruption dans mon esprit. Et à vrai dire, ça ne m’aurait pas paru incroyable. Je la sentais capable de pas mal de choses.
Elle était devant moi, dans l’atelier, habillée avec une très belle robe de soirée, couleur crème, qui la prenait au dessus des seins, mettait en valeur ceux-ci en les soulignant, et en laissait un bon tiers à nu. La robe venait prendre sa taille, avant de s’évaser et de partir dans des volants, jusqu’au-delà de ses genoux. Elle était vraiment irréssitible dans cette tenue. Et elle s’adressait à moi.
–Ta copine est sans doute très bien, mais moi je pourrais te donner encore plus qu’elle. Du sexe et du plaisir. Tout ce que tu voudrais, et autant que tu le voudrais. Et je te donnerais aussi ce que tu n’as jamais même imaginé. J’ai tout ce qu’il faut pour cela. De l’expérience et énormément d’imagination.
Et pour bien me convaincre, elle s’était mise à dévoiler son corps. Elle a commencé par mettre ses seins à nu. Ils n’avaient pas changé entre la réalité et le rêve, pleins, charnus, bien dessinés. Ses tétons se sont mis à durcir. Elle a mis ses mains en coupe, et en a remonté un, puis l’autre, vers sa bouche, mordillant un et léchant l’autre. Au final, deux tétons distendus.
Laissant ses seins à l’air libre, elle s’est penchée pour attraper l’ourlet de la robe, et elle a remonté le tissu, dévoilant ses belles jambes jusqu’à un ventre nu. Elle a commencé à passer ses mains en travers de son sexe, totalement clos, un simple trait dans ses chairs intimes.
–Plus qu’aucune autre femme, je te donnerai tout, sans limite et sans refus.
Le genre de promesse que tout homme, moi autant qu’un autre, ne pouvait refuser.
Quelques caresses, la pulpe de ses doigts en travers de sa fente ont suffi pour que celle-ci s’ouvre, et libère ses secrets les plus intimes. Le rose de son intérieur, le bout de chair en haut de ses lèvres qui se sont gonflées et dépliées sous mes yeux.
Juste derrière elle, il y avait un meuble, à sa hauteur, sur lequel elle s’est laissée glisser pour s’allonger, m’offrant son ventre, jambes ouvertes sur un sexe qu’elle s’est mise à caresser avec force, attaquant une technque, puis basculant sur une autre, offrant à mon regard un spectacle son intimité sans vergogne.
Je me suis réveillé d’un seul coup. Couvert de sueur et au bord d’un orgasme que je n’ai pas maitrisé, arrosant les draps de semence. (Je dormais nu.) Près de moi, sans se douter de ce qui se passait en moi, Flo dormait paisiblement. Je me suis levé pour me nettoyer, avec l’impression étrange qu’il s’agissait de bien plus que d’un rêve.